Maman a tort en bref
Malone, 3 ans et demi, prétend que ses parents ne sont pas ses parents. A son âge, les souvenirs s’effacent progressivement au fil des apprentissages et Malone risque de ne plus pouvoir se raccrocher aux souvenirs de sa « vraie » mère. C’est que ce pense le psychologue scolaire, Vasile, qui demande à la commandante Marianne Augresse d’enquêter sur cette histoire avant qu’il ne soit trop tard.
Le mot de l’éditeur
Rien n’est plus éphémère que la mémoire d’un enfant… Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n’est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit.
Il est le seul. Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l’aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car, déjà, les souvenirs de Malone s’effacent. Ils ne tiennent plus qu’à un fil. Le compte à rebours a commencé.
Qui est vraiment Malone ?
Quelques mots sur l’auteur
Michel Bussi, né le 29 avril 1965 à Louviers (Eure), est un auteur et politologue français, professeur de géographie à l’université de Rouen, où il dirige une UMR du CNRS.
En tant que chercheur universitaire, il publie depuis une vingtaine d’années des articles et ouvrages scientifiques.
Son premier roman, « Code Lupin », s’est vendu à plus de 7 000 exemplaires et a ensuite été publié en feuilleton, pendant 30 jours lors de l’été 2010 par le quotidien « Paris Normandie ».
Son deuxième roman, « Omaha crimes », a obtenu le prix Sang d’encre de la ville de Vienne en 2007, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens 2008, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen 2008, le prix Octave-Mirbeau de la ville de Trévières 2008 et le prix des lecteurs Ancres noires 2008 de la ville du Havre.
Suivent d’autres romans qui remportent un grand succès : « Mourir sur Seine », qui a obtenu en 2008 le prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie, « Sang famille » en 2009, « Nymphéas noirs » en 2011 qui remporte notamment le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, le prix du polar méditerranéen, le prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans, le prix des lecteurs du festival Sang d’Encre de la ville de Vienne, le Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands, « Un avion sans elle » en 2012 qui est récompensé par le prix Maison de la presse 2012, le prix du roman populaire 2012 et le prix du meilleur polar francophone 2012, « Ne lâche pas ma main » qui a reçu le prix du roman insulaire 2013.
En 2010, il participe au recueil de nouvelles « Les Couleurs de l’instant » publié dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, avec la nouvelle « T’en souviens-tu mon Anaïs? ».
Son roman « N’oublier jamais » est sorti en mai 2014. Ont été publiés depuis « Maman a tort » en 2015.
En mai 2016, le Temps est assassin est paru, avec, une fois n’est pas coutume la Corse en toile de fonds. Une des particularités de son travail est en effet de situer la majorité de ses romans en Normandie.
Notre avis
Michel Bussi situe de nouveau son roman en Normandie. Il est découpé en 3 parties du nom de 3 femmes qui ont joué un rôle important dans sa vie. La construction du roman, alternant en les différents personnages, les 2 affaires suivies par la commandante alimente le suspense.