Nous traverserons des orages d’Anne-Laure Bondoux

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Nous traverserons des orages en Bretagne en bref

Le livre s’ouvre en 1914, dans une ferme du Morvan, où vivent Anzême, 25 ans, sa femme, Clairette, son père, Cytise, et son jeune frère Marty.

Mais la guerre est déclarée et Anzême part au front.

Le mot de l’éditeur

Voici l’histoire que je dois te raconter, Saule. C’est l’histoire d’une famille, d’une maison et d’un pays. Elle commence à la veille d’une guerre planétaire, dans une ferme de hameau qu’on appelle Les Chaumes. Elle s’achèvera un siècle plus tard, au même endroit. Entre ces deux époques, tu verras vivre ici quatre générations hantées par des secrets et des fantômes. Tu verras changer les saisons, les habitudes, les lois et les gouvernements. Tu verras des hommes tomber amoureux, rêver de grandes choses, partir à la guerre et en revenir sans mot et sans gloire. Jusqu’à moi. Jusqu’à toi.

Quelques mots sur l’auteur Anne-Laure Bondoux

Née en 1971, Anne-Laure BONDOUX a obtenu une licence en Lettres Modernes à Nanterre.
Après avoir fait du théâtre et écrit des chansons, Anne-Laure Bondoux entre à 25 ans en 1996 chez Bayard Presse.
En 2000, elle se consacre à l’écriture. En 2020, elle écrit un roman avec Jean-Claude Mourlevat, « Oh happy day » fondé sur un échange d’emails et de sms entre les deux protagonistes, Pierre-Marie et Adeline.
En 2023, elle reçoit la Pépite d’Or du Salon du livre et de la presse jeunesse pour « Nous traverserons des orages ».
En 2024, elle est nommée chevalier de l’ordre National du Mérite.

Notre avis

Cette saga familiale de 1914 à 2020 met en perspective le point de vue des différents membres de la famille à travers les générations. Nous nous y attachons progressivement en découvrant leur personnalité, leur quotidien et leur vécu mis en perspective par les faits historiques et l’évolution de la société française.
Malgré l’accessibilité du style, ce livre évoque également des notions fondamentales telles que l’héritage familial, le poids des secrets et la nécessité de connaître des racines. Il fait forcément écho à l’histoire de notre propre famille, bien que nécessairement unique, d’après les récits et non dits de nos aïeuls et à nos souvenirs.

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