Au petit bonheur la chance d’Aurélie Valognes

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Au petit bonheur la chance en bref

Le roman s’ouvre en juillet 1968, avec Jean 6 ans, qui est très attachée à sa mère, une serveuse de 28 ans. Son père, marin pêcheur, est rarement présent. Une nuit, Marie le conduit le conduit chez sa grand-mère Lucette à Granville et part s’installer à Paris, à la recherche d’une vie différente.
Jean apprend alors à partager le quotidien de sa grand-mère (visite hebdomadaire au cimetière, la messe…) puis joue à la plage avec ses cousins.

Le mot de l’éditeur

1968. Jean a six ans quand il est confié du jour au lendemain à sa grand-mère, Pour l’été. Pour toujours. Il n’a pas prévu ça. Elle non plus. Mémé Lucette n’est pas commode, mais dissimule un cœur tendre. Jean, véritable moulin à paroles, est un tourbillon de fraîcheur pour celle qui vivait auparavant une existence paisible, rythmée par ses visites au cimetière et sa passion pour le tricot. Chacun à une étape différente sur le chemin de la vie – elle a tout vu, il s’étonne de tout –, Lucette et Jean vont s’apprivoiser en attendant le retour de la mère du petit garçon. Ensemble, dans une société en plein bouleversement, ils découvrent que ce sont les bonheurs simples qui font le sel de la vie.
Un duo improbable et attachant pour une cure de bonne humeur garantie !

Quelques mots sur l’auteur Aurélie Valognes

Née en 1983 à Chatenay-Malabry, Aurélie Valognes est une auteure française de littérature contemporaine. Diplômée de l’École Supérieure de Commerce NEOMA Business School (ESC Reims) en 2007, Aurélie Valognes est spécialisée en communication et en marketing, et a exercé au sein de diverses entreprises et pays.
Elle publie son premier roman, Mémé dans les orties, en juillet 2014 en auto-édition puis chez Michel Lafon.
Son second roman, Nos adorables belles-filles a été renommé « En voiture, Simone ! »  lors de sa sortie au Livre de Poche. Autre roman : Minute, Papillon !

Notre avis

En quelques lignes, avec un style accessible, l’auteur parvient à nous transporter en Normandie en dans les années 1970. Son sens de l’observation des lieux et des relations entre les protagonistes contribue à créer une ambiance authentique et familière pour cette histoire qui fait du bien. L’auteur évoque également dans ce roman la conditions des femmes, les changements qu’ont pu apporter le mouvement de 1968 dans la société et le fossé qui s’est creusé entre les générations mais également le rôle de parent.

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