Je te vois en bref
Zoé, 40 ans, travaille dans une agence immobilière. Elle vit avec ses 2 enfants, Katie 19 ans et Justin 22 ans, ainsi que son compagnon Simon. Elle lit le journal dans le train qui la conduit chez elle après une fatigante semaine de travail. Intriguée, elle y découvre une annonce à la rubrique téléphone rose où se trouve une photo d’elle.
Kelly assure la sécurité dans le métro londonien depuis 10 ans. Elle écoute Zoé et prend au sérieux ce qu’elle lui dit, même si cela n’entre pas dans ses missions.
Le Mot de l’éditeur
Comme des milliers de Londoniens, Zoe Walker emprunte quotidiennement le métro et feuillette le journal distribué sur le quai. Un matin, elle y découvre sa photo dans les petites annonces, sous l’adresse d’un site Internet. Qui a pris ce cliché à son insu ? Dans quel but ? Et puis, est-ce bien elle ? Sa famille n’en est guère convaincue. Zoe ne trouve qu’une oreille attentive : celle de Kelly Swift, un agent de la police du métro. Car une succession d’incidents étranges, puis le meurtre d’une femme qui avait également découvert sa propre photo dans le journal persuadent Kelly que quelqu’un surveille les moindres faits et gestes des passagères. Chacune de leur côté, Zoe et Kelly vont lutter contre cet ennemi invisible et omniprésent.
Quelques mots sur l’auteur Clare Mackintosh
Née au Royaume-Unis en 1976, Clare Makintosh est diplômée en management et en français à l’université Royal Holloway. Elle passe ensuite 12 ans dans les forces de police, qu’elle a quitté en 2011 pour devenir journaliste indépendante. Son premier roman « Te laisser partir » (I Let You Go), publié en 2014 est lauréat en 2016 du Theakston’s Old Peculier Crime Novel of the Year Award et du prix Polar 2016 du meilleur roman international.
http://claremackintosh.com
Notre avis
Le style est fluide. Même si le personnage principal est Zoé (chapitre écrit à la première personne), le personnage de Kelly prend peu à peu de l’ampleur. Nous comprenons progressivement pourquoi cette affaire lui tient à cœur. Le suspens grandit graduellement avec l’intégration de petits chapitres de la personne qui observe Zoé. Nous finissons, comme Zoé, à suspecter tout le monde. Difficile de prendre le métro sereinement après avoir refermé ce livre.