J’ai dû rêver trop fort de Michel Bussi

9 Eve
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J’ai dû rêver trop fort en bref

En septembre 2019, Nathalie, hôtesse de l’air de 53 ans, vit depuis 30 ans avec Olivier, avec qui elle a deux filles, Laura, maman de deux jumeaux, et Margot. Elle s’absente 15 jour par mois pour son travail qui constitue sa liberté alors qu’Olivier souhaiterait qu’elle change de métier. Avant de partir travailler, Nathy s’aperçoit que quelqu’un a fouillé dans son tiroir à secrets. Au planning de ce mois : Montreal, Los Angeles et Djakarta.
Il y a 20 ans, elle avait également enchaîné ces 3 destinations avec le même pilote, la même collègue parmi le personnel navigant et quelques passagers similaires, le chanteur et les musiciens du groupe des Cure. Les souvenirs remontent.
En septembre 1999, Nathy repère dans la salle d’embarquement un homme qui joue de la guitare. Elle le recherche parmi les passagers en septembre 2019.

Le mot de l’éditeur

Montréal, San Diego, Barcelone, Jakarta… Le quarté dans l’ordre.
Sur le chemin de Roissy, Nathy s’interroge. Quelles sont les probabilités pour qu’on lui attribue, précisément, ces quatre destinations – les mêmes qu’il y a vingt ans ? Car l’hôtesse de l’air n’a jamais oublié cette parenthèse enchantée – quelques accords de guitare, un regard intense sous une casquette écossaise… Un rêve trop grand, trop fort – vingt ans déjà ! Quel dieu farceur s’ingénie donc ainsi à multiplier les coïncidences ? Quel dieu cruel, à vouloir tout détruire ? Est-il enfin l’heure d’affronter son passé ?
 » Il ne nous laisse pas souffler jusqu’au dénouement, magistral.  » Le Parisien
 » Michel Bussi a innové en mêlant beaucoup d’amour et du suspense.  » Libération

Quelques mots sur l’auteur Michel Bussi

Michel Bussi, né le 29 avril 1965 à Louviers (Eure), est un auteur et politologue français, professeur de géographie à l’université de Rouen, où il dirige une UMR du CNRS.
En tant que chercheur universitaire, il publie depuis une vingtaine d’années des articles et ouvrages scientifiques.
Son premier roman, « Code Lupin », s’est vendu à plus de 7 000 exemplaires et a ensuite été publié en feuilleton, pendant 30 jours lors de l’été 2010 par le quotidien « Paris Normandie ».
Son deuxième roman, « Omaha crimes », a obtenu le prix Sang d’encre de la ville de Vienne en 2007, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens 2008, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen 2008, le prix Octave-Mirbeau de la ville de Trévières 2008 et le prix des lecteurs Ancres noires 2008 de la ville du Havre.
Suivent d’autres romans qui remportent un grand succès : « Mourir sur Seine », qui a obtenu en 2008 le prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie, « Sang famille » en 2009, « Nymphéas noirs » en 2011 qui remporte notamment le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, le prix du polar méditerranéen, le prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans, le prix des lecteurs du festival Sang d’Encre de la ville de Vienne, le Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands, « Un avion sans elle » en 2012 qui est récompensé par le prix Maison de la presse 2012, le prix du roman populaire 2012 et le prix du meilleur polar francophone 2012, « Ne lâche pas ma main » qui a reçu le prix du roman insulaire 2013.
En 2010, il participe au recueil de nouvelles « Les Couleurs de l’instant » publié dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, avec la nouvelle « T’en souviens-tu mon Anaïs? ».
Son roman « N’oublier jamais » est sorti en mai 2014. Ont été publiés depuis « Maman a tort » en 2015.
En mai 2016, le Temps est assassin est paru, avec, une fois n’est pas coutume la Corse en toile de fonds. Une des particularités de son travail est en effet de situer la majorité de ses romans en Normandie.

Notre avis

L’auteur nous conduit successivement dans différentes destinations où se rend Nathy en alternant les chapitres en 1999 et en 2019 pour montrer les similitudes des situations, comprendre progressivement ce qui bouleverse Nathy et l’enchaînement des événements.
Le style est fluide, avec une abondance de dialogues. Nous sommes vite pris par le suspens et attachés aux personnages dans ce roman à la fois captivant et qui pousse à la réflexion sur la vie que l’on accepte de mener.

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